Salon du Livre d'Ile-de-France

Salon du Livre d'Ile-de-France

 

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2ème Festival du Livre d’Ile-de-France à Mennecy, les 10 & 11 décembre 2011

   10 heures - A peine suis-je installé qu’une femme, charmante et fort aimable, m’aborde pour m’apprendre que Patricia Guillemain, présidente du jury de l’Association des Ecrivains Bretons à laquelle j’ai l’honneur d’appartenir, est une de ses amis intimes.

   « - Patricia, qui a beaucoup apprécié votre livre, souhaite que nous fassions connaissance.

      - J’en suis flatté », réponds-je.

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 Nous bavardons un moment. Elle écrit, elle aussi du roman historique. Elle est éditée chez Calmann-Lévy. Elle se nomme Maryse Rivière.

   11 heures – Gonzague Saint-Bris, le parrain de la seconde édition de ce salon, ne sera physiquement pas présent pour l’inauguration. Dommage. Il formule ses vœux de réussite par le truchement d’un écran plasma. Il est aux Etats-Unis. Les techniques de communication moderne, qui permettent de se dédoubler, ne remplaceront jamais la présence physique de l’invité, présence qui doit être un gage de considération envers ses hôtes. 


 mennecy-010.jpgMaryse Rivière et Bernard Marc

 12 heures - Remise des prix du roman d’Ile-de-France. Maryse Rivière en est l’heureuse lauréate pour son livre « Le fracas des hommes », roman écrit à quatre mains aux côtés de Bernard Marc. Ayant été présélectionné pour ce prix, je m’adresse à quelques membres du jury afin d’avoir une idée de leur ressenti après la lecture de mon « apothicaire ». Ils avouent avoir longuement hésité entre quatre ou cinq ouvrages dont le mien. Battu d’une courte tête !

   15 heures – Mon voisin est Jean-Marc Pitte, journaliste grand reporter sur FR3. Il est auteur de deux ouvrages dont Gueule d’ange, aux éditions La Tengo. Le manque d’affluence  de l’après-midi a raison de la patience de ce bourlingueur peu accoutumé à rester vissé sur un siège plus de cinq minutes. Il range ses livres et s’éclipse.

   Dimanche matin – Les auteurs papotent entre eux. Ils circulent de table en table, sirotent un café. La vedette du jour, l’humoriste Popeck, arrive pour le déjeuner. Il réapparaît à 14h 30. Apparemment il a bien mangé, on ne l’entend pas beaucoup, je le croyais plus bavard. mennecy-015.jpg

   Il faut attendre le milieu de l’après-midi pour qu’un frémissement parcoure le salon. 

   16 heures – C’est l’heure à laquelle je dois monter sur scène pour animer le café littéraire consacré au Roman Historique. L’adjointe au maire de Mennecy me donne la réplique. Karin Hann, Prix spécial du jury ( Althéa ou la colère d’un roi, éditions Robert Laffont) est appelée pour apporter la contradiction. Le public semble apprécier car il se presse autour de nous, apparemment très intéressé par le sujet. A la fin de cette intervention, je note avec satisfaction que les acheteurs sont nombreux à se rendre auprès de mon libraire, la librairie Papyrus, pour acquérir mon « apothicaire ».

librairie-papyrus.jpgLibrairie Papyrus

   Après quelques dernières dédicaces, il est l’heure de se quitter. Bilan globalement positif malgré un public clairsemé.L’organisation de ce salon a été menée de main de maître, même si l’on ne peut que regretter l’absence de la vedette tant attendue : Gonzague saint-Bris.

Commentaires

  • SOUDAN Thérèse
    • 1. SOUDAN Thérèse Le 15/04/2014
    Bien vu, l'analyse...Je participai aussi à ce salon, en tant qu'auteur et suis d'accord sur les commentaires qu'ils soient positif ou négatif.
    Je serai au salon du livre de Mazamet le 4 mai et y présenterai mon ouvrage : LE BAL DES AÏEULS.
    J'espère fonder une journée du livre dans une commune du Tarn où je viens d'être élue, et je prends bonne note de vos commentaires. Au plaisir de vous rencontrer.

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