Présentation "De silence et d'ombre" au Café Littéraire de Lambersart

 

A l'occasion de la tenue mensuelle du Café Littéraire de Lambersart du 13 décembre 2012, Jean-François Zimmermann présentait pour la première fois au public depuis sa parution en novembre, son deuxième titre : 

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Présentation « De silence et d’ombre »

Café Littéraire Lambersart 13/12/2012

 

"L’auteur du présent ouvrage est un homme qui gagne à être connu. Si, si ! C’est un être sensible, affable, tolérant, courtois et qui, à défaut d’être historien, s’attache à bien se documenter avant de tremper sa plume dans l’onde claire du courant de l’Histoire.

Vous avez bien compris et ce n’est pas une surprise, « De silence et d’ombre » est un Roman Historique.

Je sais, il est des lectrices et des lecteurs qui n’aiment pas le roman historique, d’autres qui le détestent et certains qui le haïssent. S’ils sont masochistes, ils le liront quand même, s’ils sont sadiques, ils en feront cadeau à un ami qui vomit le roman historique et s’ils sont soucieux de préserver l’humanité d’une telle horreur, ils se procureront tout le stock disponible chez l’éditeur pour le passer au four à 451° Fahrenheit.

Je n’ai aucun talent d’orateur, je « bénéficie » d’une mémoire mitée par des trous aussi soudains qu’inattendus et qui surviennent d’autant plus que je les crains. C’est pourquoi je prépare des petits papiers.

Ceux qui ont ouvert « L’apothicaire de la rue de Grenelle » et l’ont lu jusqu’au bout peuvent se considérer comme étant suffisamment entraînés pour avaler les 480 pages de son subséquent récit."

Thibaud, fils d’un obscur paysan des Bauges, fasciné par les livres, accède à la connaissance en toquant l’huis d’un monastère. Une vie qui paraissait réglée va être bouleversée par la découverte de l’amour terrestre. Défroqué et banni, en quête d’indulgences, il rejoindra la cohorte des pèlerins de la première croisade. Il découvrira Byzance, son peuple, son art de vivre, connaîtra le fracas des batailles.
« C’est en observant, au port de Théodose, un enfant occupé à faire naviguer un radeau en miniature, que s’imposent à mon esprit les images de mon passé. J’ai maintenant dépassé les trente années, peux-je prétendre avoir été maître de ma destinée ? Certes non. Je suis le jouet de qui, de quoi ? A quoi tout cela sert-il ? Tout cela a-t-il un sens ? »
A la fois grande fresque historique, quête spirituelle et roman d’aventures, ce récit, sans concession à la vérité historique, incite à la réflexion sur la grandeur de l’homme et aussi sur sa folie.

Bien d'autres livres ont été présentés au cours de cette soirée par les "sociétaires" au 210 Lompret : 

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Maggy a défendu "La vérité sur l'affaire Harry Québert" et Bernadette, "Patient" de Grand Corps malade.

 

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Brigitte a parlé de son amie Carole Fives : "Que nos vies aient l'air d'un film parfait"

 

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Odile et Paul avec "Barbe bleue" d'A. Nothomb et "Balthazar, fils de famille" de JM Banier

 

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Nicole : "L'équation africaine" de Khadra Yasmina

 

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Annie-France, la vaillante présidente, défend "14", de Jean Echenoz.

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